"Ce qui plait dans Barroso, c’est qu’il ne dérange personne par des initiatives intempestives et aucun pays n’a envie d’un hyperactif à la tête de la Commission. Il reflète l’état de l’Union aujourd’hui : des États qui rechignent à aller plus loin dans l’intégration et qui, sous les coups de boutoir de la crise, sont plutôt tentés de démanteler le marché unique…" (Jean Quatremer).
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